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 l'ennuie mortel digne d'une citadelle

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N. Sasha Bukovski est fier de vivre au Québec



N. Sasha Bukovski

✿ Messages : 10
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✿ Pseudo : nevada
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✿ Humeur : risible


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♦ la relation d'autrui:

l'ennuie mortel digne d'une citadelle _
MessageSujet: l'ennuie mortel digne d'une citadelle   l'ennuie mortel digne d'une citadelle EmptyLun 1 Nov - 1:36


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J'ouvris les yeux doucement. Qu'est-ce qui avait bien pu me réveiller? Je cherchais un bruit, une présence, quelques chose qui aurait pu troubler mon sommeil. Un cauchemars, un sms, un mouvement. Je sentais quelque chose de tiède sur ma joue, et c'est en ouvrant mes paupières que je constatais que c'était un rayon de soleil qui m'avait tiré de mes songes. Intrigué je regardais ma fenêtre et les rideau ouverts. Rare étaient les fois où je me réveillais ainsi. A quand remontait la dernière fois? Je n'y songeais même pas. J'avais perdu l'habitude de me réveiller par moi-même. C'était mon téléphone qui me réveillait par un appel de connaissance qui me sommait de me dépêcher car j'étais en retard. Où alors je me réveillais le soir, vers 17heures. L'été j'avais le droit au soleil étouffant, l'hiver juste à la nuit déjà entamé. Pourtant aujourd'hui nous n'étions pas en été, nous ne l'étions plus et pourtant me voila éveillé par la douce caresse du soleil. Me tournant vers me réveil je m'aperçus qu'il était onze heure. L'heure termina mon réveil. Je fronçais les sourcils. Comment se faisait-il que je sois debout à cette heure là ? Enfin réveillé je veux dire. Comment était-il possible que mon corps est eut assez de sommeil pour me réveiller lui-même ? Avec intrigue je fis le résumé de la veille. D'habitude je remontais tel un puzzle mes souvenirs. C'est ainsi que je compris mon réveil. La veille après avoir eut une dispute avec un ami, j'étais rentré dans le but de décompresser. Mais depuis déjà quelques jours je n'y arrivais pas dû au fait de la perte de mon Ipod et carnet. J'avais donc par dépit vidé une demie bouteille de whisky puis m'étant allongé sur mon lit j'avais passé le début de soirée et regarder le plafond. Il était évident que je mettais endormit et donc que mon corps avait pu récupérer ses heures de sommeils. Depuis que j'avais pommé mon Ipod, je passais plus de temps à dormir.

Je repoussais les draps et découvris que j'avais prit la peine d'ôter mon pantalon. Tant mieux. Cherchant la télécommande j'allumais ma chaîne et DaftPunk emplit à plein poumons l'appartement. Je n'avais jamais supporté un réveil comme celui-ci ayant toujours la gueule de bois. Pour une fois j'appréciais l'effet énergisant de la musique. Me mettant sur mes pieds je saisis mon téléphone et me dirigeant vers mon dressing regardais mes messages. 39 sms; 66 appels manqué et 18 messages vocaux. Je regardais les noms défilés sans en ouvrir aucun. A la fin j'ouvris celui de Matthew, la seule véritables personne qui avait pu essayer de me joindre pour autre chose que la soirée d'hier. J'écoutais son message. Il annulait le rendez-vous de ce midi pour le mettre à ce soir. Tant mieux j'aurais été en retard. Supprimant le reste, inintéressant, je regardais se que j'allais mettre. Tee-shirt en coton The Kooples, jeans Dior, il me fallait une veste et je choisis celle que j'avais mis la veille pour sortit chercher des clopes. En chaussure je ne fis pas mon indécis et enfilais mes derbies noires. Je coiffais les cheveux d'un geste de mains pour les rendre désordonné. Du parfums suivit mes dents brossées puis je retournais dans ma chambre.

L'appartement semblait vide de présence je n'avais donc ramené personne; non plutôt personne s'était introduit ici. Je souris et prit mon paquet de clope, mes clefs de voiture, regardant mon téléphone je consentis à le prendre et un autre carnet semblable à mon ancien. Je commençais à me dire qu'il allait falloir me faire à l'idée que mes chansons s'étaient envolé dans la nature. Passant dans le salon je remarquais quelques reste de poudre de la veille, surprit d'en avoir consommer avant de me coucher je m'avançais et d'un coup de main la rassemblait dans un sachet qui termina dans une boîte sur la table basse. Il restait néanmoins les trace de ma carte l'écrasant; Maria effacerait tous cela. Je coupais le son de ma musique et quitta mon appartement. J'étais sans doute l'un des seuls à ne pas utilisé de taxi dans la ville, je parle de mes connaissances bien sure. Mais je ne supportais pas devoirs dépendre de ces gens, je ne supportais pas les attendre. Ma Proche noir était sans doute l'objet auquel je tenais le plus après mon Ipod et mon carnet, j'avais réussis à la faire venir de Paris par cargo. C'était aussi un objet ostentatoire, pour exhiber ma supériorité budgétaire sur tous ces petits fils de; ou même sur les autres. J'avais depuis longtemps remarqué les regards envieux des gens lorsque je passais avec ma voiture, vitre teinté fermé ou même ouverte c'était la même envie sur leur visage. Je suis un fils de. certes mais j'ai aussi la décence de vouloir le montrer avec classe.
Claquant la portière derrière moi je démarre et tourne dans les rues. Une heure après je m'arrête devant un magasin de disque. Je viens de terminé mon café et j'avais envie de trainer. J'ai rien à faire comme toujours. Alors pourquoi pas aller faire les magasins. En faite j'en ai déjà fais deux et les paquets sont jetés négligemment dans mon coffre. Je ferme la portière et traverse le trottoir, poussant la porte je sens le côté ambiance musique que j'aime. Me demander pas de la décrire cette ambiance j'en suis incapable. Mais je la reconnais et j'aime ça. Je garde mes ray-ban sur mon nez, préférant me la jouer mystérieux inconnu. Un jour je sortirais sans faire attention aux apparences, sans exhiber ma richesse écœurante, je serrais un peu moi-même, sans ce jeu de petit c**; oui un jour mais pas maintenant. J'avance entre les disques les regardant sans m'attarder. J'ai aucune idée en tête je veux juste flâner pour passer le temps.
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