« tu sais que j'dois aller au boulot. » Nate me prit par la taille afin de m'empêcher de sortir du lit. J'me débatait, car même si j'en ait pas b'soin de ce job, peut-être qu'un jour, il me sera utile. Les Samedi, j'ai pas cours à l'université, alors j'travaille au Pizza Mag pour avoir de l'argent de poche qui ne vienne pas de ma mère. J'me retourne vers Nathael et je l'embrasse sur les lèvres. Ça fait le tour et il arrête de me retenir. J'me tasse rapidement de ses bras et j'part en vitesse vers le boulot. J'ai un travail immense à faire. Déjà, quand j'arrive -même s'il est onze heures du matin- c'est bondé. J'travail pendant de nombreuses heures, tout en bavardant avec Alizée qui travail avec moi. L'heure de la fermeture approche et alors que c'est moi qui fait la fermeture, j'entend que quelqu'un entre. J'soupire et j'me demande qui est cette personne assez nulle pour arriver à la fermeture. J'sors des cuisines et je soupire : jusqu'à ce que j'vois qui c'est. Gabriel. J'souris et j'accours vers lui afin de le serrer dans mes bras. Ça faisait un moment que je n'l'avais pas vu. J'l'embrasse sur la joue, comme je le fait casi-tout le temps et j'dis « Brosseau, ça t'as pas dis de venir avant la fermeture ? Maintenant j'vais devoir faire ta pizza moi-même. »

Il se réveille en sursaut pour regarder l’heure, onze heures et dans quelque minute sa cousine avait un rencard. Se levant il va à la chambre de sa cousine. «Aller on se lève tu as un rencard aujourd’hui.» elle lui lance son oreiller «Je veux pas…puis ce n’est pas un rencard c’est juste mon best » Il se mit è rire «Ce que tu m’as dit me fait tout pensé à un rencard ma belle.» «Dégage, laisse-moi tranquille» «Il te reste vingt minute» il ferme la porte entendant un quoi et un bruit dans la chambre. Fière de lui il descend les marches pour aller faire à manger vu qu’ils ne mangent pas à la maison et qu’il va être seul il se fait un déjeuné diné. La journée passe assez vite. Il regarde l’heure sa cousine rentre tard. Allant à la pizzeria du coin il entre c’est bientôt la fermeture. La voyant arrivé près de lui il la serre doucement dans ses bras. Elle a toujours le même parfum. Fermant les yeux il l’écoute riant. «Qui te dit que c’est une pizza que je veux et pas toi» il lève un sourcil la regardant avec un grand sourire sur les lèvres. Il était venu la voir après tout. «Tu veux peut être que je parte»